Wendy Zenith Williams Ҩ « La pire drogue, c'est l'amertume, elle empoisonne la vie, mais conserve son homme. »

Wendy Zenith Williams
FEAT Victoria Justice

« Les hommes portent leur coeur dans leur sexe, les femmes portent leur sexe dans leur coeur. »

THIS YOUR STORY
NOM ✐ Williams
PRENOM ✐ Wendy Zenith
DATE DE NAISSANCE ✐ 23 Janvier 1989
LIEU DE NAISSANCE ✐ Los Angeles
AGE ✐ 22 ans
PROFESSION ✐ Styliste
STATUT SOCIAL ✐ Célibataire
GROUPE ✐CROQUEURS

IF WE WERE IN A MOVIE

Sympathique✐ Drôle✐ Rêveuse ✐ Énergique ✐ Dragueuse
Colérique ✐ Manipulatrice ✐ Rancunière ✐ Jalouse ✐ Violente

Los Angeles la deuxième plus grande ville des États-Unis juste après New York. Elle est située dans le sud de la Californie, sur la côte pacifique. Les Américains l'appellent souvent par son diminutif, L.A., prononcé « èl éy ». Cette ville est le siège du comté portant le même nom. Cette grande ville très connue est l'endroit où je suis née, d'ailleurs j'en suis très fière, je suis née dans cet hôpital au coin de la rue. Je ne connais pas encore cette rue vue que je me trouvais en ce moment même dans les bras de l’infirmière. Elle venait de me mettre deux claques et à ce moment j'avais hurlé de tous mes poumons déjà qu'ils étaient petits... Ils voulaient certainement me tuer que vérifier si je respirais ou autre chose en tout cas je m'en souviendrais toujours. J'avais ce petit bracelet en matière qui faisait transpirée et qui était rose avec un nom gravé dessus, j'entendais alors deux prénoms sortir de la bouche de ma mère : Zenith et Wendy ainsi que mon nom de famille : Williams. Il y avait un papier devant moi avec des cases qui se remplissaient un peu plus chaque jour, je comprendrais certainement un jour ce que signifiait ce bout de papier. Je ne suis pas bien resté longtemps à l’hôpital, ma mère allait déjà mieux et elle m'avait habillé chaudement et nous sommes sortis dehors. Dans un univers où le bruit était présent à chaque fois, ou l'air est pollué en permanence, où l'odeur de la nourriture stagne dans toutes les rues. En tout cas je ne pouvais pas dire le contraire mais la ville est active toujours, quand je me trouvais dans mon lit, je voyais des lumières traverser les fenêtres, ainsi que des cris et des rires. Je comprenais alors que ma vie n'allait pas être toute calme et poser comme je l'avais imaginé jusqu'à présent. Enfin bref j’entraînais dans un truc bizarre et on faisait quelques kilomètres avant de sortir de nouveau et de rentrer dans une très grande maison blanche. Une maison parfaitement entretenue, en même temps il y avait des personnes qui s'occupaient du jardin et à l'intérieur des personnes nettoyaient encore et encore. On me déposait dans un minuscule lit à coté du canapé et en face de la télévision, tout le monde me regardait un par un et je finissais par fermer mes yeux et m'endormir au milieu de la journée. Ma vie n'était pas bien compliquée je ne faisais pas grand-chose à part dormir, manger, rire et regarder ce qu'il se passait autour de moi. J'apprenais des mots à force d'entendre les personnes parler, mais je ne comprenais pas ce que cela voulait dire car ils parlaient bien trop vite pour moi. Mes parents ? Je ne les voyais déjà pas très peur et ils s'occupaient presque jamais de moi, ils étaient toujours dehors avec des amis ou au travail. J'avais une nounou si je pouvais dire, elle s'occupait de moi toute la journée et même la nuit car cela arrivait qu'ils ne reviennent même pas pour dormir. C'est à partir d'aujourd'hui que j'avais compris que l'amour de ma mère et de mon père était inexistant et que j'étais certainement arrivé par erreur. Leur première fille et voilà comment j'étais accueilli dans cette grande maison de bourge, ma vie se répétait mais plus les jours passaient et plus je grandissais. Je soufflais ma première bougie sur un gros gâteau en chocolat, j'avais eu beaucoup de cadeaux, mais mes parents n'étaient pas là comme d'habitude... J'ai continué à grandir comme il le faille et même qu'au bout de mes deux ans j'étais déjà à l'école mais je ne faisais pas grand-chose à part jouer et dormir l’après-midi, voilà ce que je faisais de mes journées. Je m'amusais au loup je courrais après ceux de ma classe pour les toucher et après je partais en courant. C'est ainsi que je grandissais tranquillement, montant dans échelle de l'âge et dans celle des classes aussi. Le temps passait très vite surtout pour ma nounou qui passait ses journées avec moi, elle m'aidait à faire mes devoirs, à apprendre les nombres, les lettres. Au fur et à mesure du temps je commençais à faire des mathématiques puis ensuite du français, enfin pleins de choses aussi différentes les unes aux autres. Je sortais l'après-midi avec des amis, je faisais du vélo dans les rues, j'étais toujours invités aux anniversaires, donc je devais trouver un cadeau. Enfin bref tout à fait la vie d'une petite fille, j'avais parfaitement compris que mes parents s'en fichaient de moi, ils ne me parlaient pratiquement jamais jusqu'au jour où ils m'annonçaient une chose. Je me trouvais tranquillement posé sur le canapé devant les dessins animés, mon père était venu et ma mère aussi. Ils venaient m'annoncer qu'elle attendait un petit garçon, enfaîte ils m'avaient caché ça pendant un moment, cela faisait plusieurs mois qu'ils m'avaient menti à propos de ça. Au fond de moi j'étais très contente car je n'allais plus être seule dans cette maison et que j'allais un peu pouvoir m'amuser avec lui. Enfin je devais patienter encore un moment car il se trouvait encore dans le ventre de ma mère. C'est un peu près à partir de ce moment que ma vie a totalement changée.

De long mois après la maison était totalement différent, j'avais ma propre chambre un grand lit deux places, un très grand bureau avec des livres mais aussi un petit ordinateur portable. J'avais l'impression d'être une princesse dans cette maison, mais au final mon frère avait pris ma place. Mais j'avais bien remarqué qu'ils étaient bien plus présents pour lui que pour moi, ils étaient toujours autour de lui. À le nourrir, à le promener à lui faire apprendre les mots et tout le reste, en effet ils s'en occupaient alors que moi c'était ma nounou. Ma nounou qui était limite ma mère tellement qu'elle avait passé du temps avec moi, je l'aimais comme une mère. Mais pourtant ce ne l'était pas, j'avais l'impression de ne pas avoir de parents que j'étais vraiment une erreur de la nature, que je n'étais pas désiré. Pendant de longues semaines, de long mois et de longues années je vivais seule. Je m'occupais seule, je faisais mes devoirs seuls et je m'enfermais dans ma chambre quand il fallait manger. Je préférais être seule que de croiser le regard de mes parents, de mon frère, je ne lui en voulais pas à lui pourquoi ? Parce qu'il n'y pouvait rien, ce n'était pas lui qui avait décidé d'arriver à ce moment-là, dans cette maison, avec ses parents-là. Non je ne lui en voulais pas au contraire, je l'aimais c'était bien le seul à me faire rire et à m'aider à me sentir un peu moins seule. Un jour où je me trouvais dans le bureau de mon père je retrouvais ce papier qui se remplissait et je lisais : adoption... Je n'avais seulement quinze ans quand je découvrais ce papier, il y avait mes deux prénoms et un troisième : Anna. Je ne m'ai pellé pas Williams, je n'avais pas de prénom, ma vraie mère m'avait abandonné, ils m'avaient adopté. Mais en y réfléchissant, j'avais changé de chambre d'un coup pour me retrouver avec une autre femme qui était allongé sur un lit parfaitement bien. Au final j'avais été sortit de ma mère et tout de suite après j'avais été passé à ma mère adoptive. Voilà pourquoi ils m'ont jamais vraiment aimé, mais pourquoi m'avaient-ils pris alors ? Beaucoup trop de questions sans réponses, j'étais alors descendu avec le papier dans la main pour le poser sur la table devant mes parents adoptifs. Je n'avais pas attendu plus longtemps j'avais pris mon sac de cour et j'étais donc allé dehors rejoindre des amis. Mon petit frère m'avait suivi, il ne voulait pas me laisser seule alors il restait près de moi, j'étais sous une fontaine et je l'observais de loin. Je le surveillais vaguement, il n'avait que cinq ans et il jouait beaucoup trop près de la route, mais je ne le disputais pas, je ne lui disais rien. Bien trop choqué par ce que je venais d'apprendre, mais une voiture bien trop rapide. Une femme au volant complètement ivre qui ne contrôlait plus sa voiture fonçait droit sur mon petit frère. Je n’eus pas le temps de le tirer, il se retrouvait deux maîtres plus loin allongés sur le sol. Il ne bougeait plus, il ne respirait plus. Du sang coulait lentement faisant une grande flaque au sol, mes larmes coulaient jusqu'à ne plus pouvoir s'arrêter. Je hurlais de l'aide, la voiture ne bougeait plus, la personne qui se trouvait dedans ne descendait pas. Je prenais alors une photo de la dame et de la plaque d'immatriculation. Elle venait de New York enfin la voiture venait de New York. Mon petit frère se trouvait au sol, j'essayais tant bien que mal de bouger le trou où coulait le sang, je pleurais, je hurlais. Des personnes s'arrêtaient, ils avaient appelés le samu. Malheureusement il était déjà mort, mort sur le coup il n'avait pas souffert... Pendant des heures j'entendais mes parents pleurer, surtout ma mère, je ne faisais que de l'entendre. Ma nounou était donc venue me chercher et elle m'avait raccompagné chez elle, je ne bougeais plus je fixais droit devant moi la glace, les larmes aux yeux, mes mains recouvertes de sang. Je ne bougeais plus, je regardais mon visage dans la glace et une larme coulait le long de ma joue droite... Mon visage était froid, ma nounou m'avait enlevé mes vêtements et m'avait mis sous une douche chaude, elle me nettoyait les cheveux, elle me frottait les mains. C'était bien la seule à s'occuper de moi, elle m'avait mis dans son lit et je me suis endormie. Le lendemain des hurlements me réveillait, je reconnaissais bien cette voix, c'était celle de ma mère adoptive. M'insultant de tous les noms, de dire que je n'étais qu'une bonne à rien, que j'avais tué son seul fils. Que je ne faisais plus partie de sa vie, et que je ne serais jamais sa vraie fille. J'avais alors ouvert la porte restant debout dans le couloir, la chose qui m'avait certainement le plus blessé était : elle aurait dû mourir à sa place. Je n'ai plus jamais voulu rentrer chez moi, pendant plusieurs mois je restais chez ma nounou, j'allais au collège mais j'avais bien du mal. J'ai donc eu mon brevet avec beaucoup de mal, je voulais aller dans un lycée ou l'option création et la mode ou plutôt styliste. Pendant mes temps perdus je créais des vêtements, autant jupes que jean que maillot, j'aimais créer, je savais ce que je voulais faire : devenir Styliste et avoir mon propre magasin... Je suis allé au lycée et là tout ai commencé à mal tourné. Peu de temps après je me retrouvais dans un endroit très froid, tout tournait en boucle en voici la preuve.

Mon visage pale,mes cheveux noirs, mes yeux si magnifique. Mon teint assez pale, mon visage ovale, mes lèvres pulpeuses. Ma petite taille que j'augmentais grâce à des talons, ce ventre si plat, ses formes si généreuse, un corps parfait... Quand j'ouvrais les yeux j'avais l'impression de voir tout noir, un escalier, un long escalier. Je commence à le monter, pendant des heures et la fatigue m'emporte de plus en plus vers le fond. Laissant couler une larme le long de ma joue dans un endroit totalement blanc ayant juste pour décoration une machine pour respirer. Des fleurs dans toute la pièce, des mots de mes camarades et mes parents autour de mon lit d'hôpital. Puis enfin une porte venait s'installer dans cet escalier si noir, mais cette porte est encore bien loin. Ce chemin je m'en rappelais tellement de fois, cela devait faire bien deux voir trois fois que je le voyais. Je ne voulais pas remonter et en même temps je le voulais juste pour mes parents et des amis, mais je voulais vivre dans un meilleur monde. Le paradis était sûrement un meilleur endroit pour moi. J'avais eu une enfance si calme et tranquille, enfin c'était du point de vue de ma meilleure amie. Pour elle tout était parfait dans ma vie, mais pourtant pour moi il manquait quelques choses. Quelques choses d'important... Je n'ai jamais été vraiment heureuse dans ce monde. Je pleurais souvent, j'avais mal au fond de mon coeur. Car je me rappellerais toujours de sa petite bouille ronde, il n'avait que cinq ans et en haut de ces 1m15 la personne ne l'avait pas vue. La voiture la renversée, il ne bougeait plus et tout cela devant mes yeux. J'étais comme impuissante à cette scène, il avait du sang sur tout le visage, il ne bougeait plus et surtout ne respirait plus. Il est mort, sur le coup devant moi, devant mes yeux par une chauffeuse ivre qui a pris la fuite. Depuis ce jour-là, j'ai toujours été différente. Je n'étais plus la petite fille qui rayonnait, qui était heureuse de vivre. Car au fond de moi je m'en voulais, car j'aurais préféré que cela arrive à moi qu'à mon frère. Car lui il avait encore tellement de trajet à faire, il avait des amis formidables, mais la vie en à décider autrement. Elle a décidé de lui ôter la vie, de l'amener avec elle dans le ciel bleu de cette journée ensoleillée. Depuis ce jour très peu de chose m'intéressais, je voulais aller le rejoindre, le prendre dans mes bras une dernière fois. Pour moi les médicaments étaient la meilleure chose pour soigner ce mal, l'alcool allait m'aider à rejoindre mon petit frère. On m'a retrouvé alors allongé sur le sol, le verre à la main vide... Un paquet de médicament vide à côté de moi. Je ne me rappelle de rien et je me retrouve pour la troisième fois dans se lit. Cela fait trois fois que j'essaye de quitter ce monde, malheureusement ils me ramènent toujours à la vie, à la réalité. Mais cette fois-ci peut-être que je ne reverrais pas la couleur du ciel, de ma chambre... J'étais tellement fatigué que monter ces marches, je me suis alors arrêté et j'ai glissé et soudain plus rien. Je ne savais pas ce qu'il se passait autour de moi, mais en tout cas une chose était sur, j'avais l'impression de voir mon petit frère au loin. Puis soudain plus rien, la porte, les escaliers, tout se mélangeais. Mes parents devaient sortir de la chambre accompagnée de ma meilleure amie, je m'enfonçais de plus en plus, et pourtant le bip, bip, bip devenait de plus en rapide, et la ligne devenait de plus en plus droite. C'était sûrement la fin, je l'espérais mais soudain... La porte était toute proche, et quand j'ouvrais la porte je voyais tout un univers blanc que je ne connaissais pas. Le bip s'était calmé, les infirmières et infirmiers était repartit, j'étais de nouveau stable, mais jusqu'à quand ? Les heures passaient et il faut croire qu’il ne se passait rien. Pendant la nuit j’avais vue mon petit frère qui lui m’avait dis de retourner vers mes amis et ma famille et qu’un jour je viendrais le rejoindre mais pas pour le moment. C’est à ce moment là, que mes doigts bougeaient, que mes yeux clignaient. Une infirmière qui passait devant ma chambre m’a alors vue bougé, elle est restée près de moi pour m’enlever cette machine. Je ne voyais pas encore tout clair, mes yeux étaient fatigués et la lumière m’éblouissait. En tout cas c’était sur, je revenais à la vie.

Je suis donc revenue à la vie avec beaucoup de chance, cela faisait déjà plusieurs fois que j'essayais de perdre vie et de retrouver mon petit frère. Cela faisait déjà la troisième fois que les pompiers me retrouvaient dans un état terrible, mais pourtant à chaque fois j'arrivais à revenir en vie, à chaque fois je frôlais la mort de près. Pour la peine mes parents m'avaient obligés d'aller voir un psy, j'y allais alors après les cours pendant une bonne heure et je lui parlais de toutes les choses qui me passaient par la tête. J'étais suivi pendant un long moment et au final j'arrêtais, j'étais devenue majeur j'avais le droit de faire ce que je voulais, si je voulais continuer ou arrêter. En tout cas je terminais alors mon bac que j'eus avec mention bien, lors d'une grande soirée des amies portaient mes créations pour leurs faires plaisir je leur avaient prêtés. C'était un bal de fin d'années et plusieurs personnes m'ont conseillés de me lancer. Mais pourtant je ne me sentais pas tellement prête, je me rappelais encore de ce passé encore bien trop frais, je me disais que si je le surveillais cela ne serait pas arrivé, je n'aurais pas eu ce sang sur mes mains, je n'aurais tout simplement pas été jeté par mes parents. Non je me disais en permanence que c'était à cause de moi, que si je n'étais pas sorti de la maison et bien il ne se serait jamais retrouvé là. Un soir où je rangeais des affaires je retombais sur la photo que j'avais prise, la plaque d'immatriculation, j'étais donc allé chercher sur le net pour savoir dans quel départements provenait la voiture et je remarquais que la plaque venait de New-York. Je pouvais alors facilement la retrouver, je décidais donc d'aller la retrouver. J'avais rempli deux valises avec tous mes vêtements et un sac de sport avec mon ordinateur et tout le reste et je descendais les escaliers. Une fois arrivée en bas des escaliers, il y avait mes parents adoptifs et ma nounou, ils avaient une clé en main et me la tendait. Ils m'expliquaient qu'ils avaient achetés un local à New-York pour que je me lance, que j'ouvre une boutique. Ils m'expliquaient en plus de ça que ma vrai mère se trouvait à New-York, qu'ils allaient m'aider à le retrouver si je le voulais. J'entrais alors dans la voiture avec mes affaires et on prenait la route pour New-York. Ils me déposaient alors et m'accompagnaient vers le local qu'ils avaient acheté. Il était totalement immense, vide mais immense je pouvais donc faire tout ce que je voulais dedans. Ils me donnaient une autre clé qui était celle de mon appartement qui se trouvait non loin de là. Un très grand appartement qui coûtait énormément chère, j'ai donc commencé à chercher une co-gérante pour m'aider. Puis ensuite je suis allé à plusieurs soirées, j'ai commencé à sympathisé avec plusieurs personnes d'ailleurs je les vois souvent vu qu'ils habitent pas loin de chez moi. Mais à chaque fois que je traverse la route, le souvenir de mon frère revient en permanence ce qui est assez dur à New-York, car il y a des routes partout. Mais sinon je continue à vivre tranquillement, ma boutique avance de plus en plus et marche très bien. Une chose est sur je me sens mieux à New-York qu'a Los Angeles et je continue mes recherches sur cette femme et cette voiture. Pendant de longues années j'ai cherché, mais je n'ai rien trouvé et l'envie de changer de ville m'était venu depuis un moment. J'ai donc décidé d'étendre un peu mon magasin, ma marque de fabrication sur plusieurs villes, pays, continant qui sait... J'ai donc décidé de venir à Londres, j'ai pris le premier avion et je suis enfin arrivé...

AND WHAT ABOUT YOU
pseudo: Holnesse. ✐ âge: 15 ans. ✐ où avez-vous découvert le forum: Pub Bazzart. ✐ comment le trouvez-vous: Très jolie I love you

. ✐ autres: *-*. ✐

Bienvenue et merci de ton inscription ! I love you

Je ne sais pas si tu as vu mon message sur bazzart, mais une autre membre a aussi Kristen S., donc c'est la meilleure fiche qui gagne l'avatar. Sauf si tu désires changer ? ;)

Merci *-*
Ah je n'avais pas vue ><.
Je vais essayer et au pire je changerais Wendy Zenith Williams Ҩ « La pire drogue, c'est l'amertume, elle empoisonne la vie, mais conserve son homme. » 247570

Wendy Zenith Williams Ҩ « La pire drogue, c'est l'amertume, elle empoisonne la vie, mais conserve son homme. » 247570

D'accord, bon courage pour ta fiche alors. I love you

Enfaîte vue que ça fait un moment qu'elle est ici et tout je lui laisse je vais changer de célébrité Wendy Zenith Williams Ҩ « La pire drogue, c'est l'amertume, elle empoisonne la vie, mais conserve son homme. » 487589

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Oh, d'accord alors Very Happy

Si tu as besoin d'aide pour chercher une autre célébrité, n'hésite pas à demander (a)

Je suis à cours d'idée maintenant :O x)
Hum tu verrais qui pour une perso assez folle, rancunière, jalouse, dragueuse et fêtard? x)

Tu as des préférences pour le physique ? :)

Blonde ou brune peu importe Wendy Zenith Williams Ҩ « La pire drogue, c'est l'amertume, elle empoisonne la vie, mais conserve son homme. » 54858

Bienvenuuuue !
Dans le caractère que tu décris ... je vois bien Hayley Williams ! Wendy Zenith Williams Ҩ « La pire drogue, c'est l'amertume, elle empoisonne la vie, mais conserve son homme. » 715165

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Pixie Lott ou encore Blake Lively. Peut-être Tamsin Egerton aussi, qui est très jolie (aa)

J'avais aussi pensé à Blake Lively et Tamsin Egerton. Wendy Zenith Williams Ҩ « La pire drogue, c'est l'amertume, elle empoisonne la vie, mais conserve son homme. » 168335

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Et je continue de chercher. (a)

J'aime aucune de ces filles Laughing

Je pense avoir trouvé *-*
Merci de votre aide quand même I love you

Je vais prendre Victoria Justice Wendy Zenith Williams Ҩ « La pire drogue, c'est l'amertume, elle empoisonne la vie, mais conserve son homme. » 88966

Elle est très jolie aussi Wendy Zenith Williams Ҩ « La pire drogue, c'est l'amertume, elle empoisonne la vie, mais conserve son homme. » 120104

Je la connaissais pas, mais c'est vrai qu'elle est jolie. Wendy Zenith Williams Ҩ « La pire drogue, c'est l'amertume, elle empoisonne la vie, mais conserve son homme. » 137479

Wendy Zenith Williams Ҩ « La pire drogue, c'est l'amertume, elle empoisonne la vie, mais conserve son homme. » 137479

Sur certaine photos elle ressemble à Nina dobrev en plus Wendy Zenith Williams Ҩ « La pire drogue, c'est l'amertume, elle empoisonne la vie, mais conserve son homme. » 698303

Wendy Zenith Williams Ҩ « La pire drogue, c'est l'amertume, elle empoisonne la vie, mais conserve son homme. » 698303

Bon allez je vais faire ma fiche Wendy Zenith Williams Ҩ « La pire drogue, c'est l'amertume, elle empoisonne la vie, mais conserve son homme. » 301563

C'est vrai ! x) Elles feraient de bonne soeurs en fait ! Wendy Zenith Williams Ҩ « La pire drogue, c'est l'amertume, elle empoisonne la vie, mais conserve son homme. » 88966

Bienvenue sur le forum ! Wendy Zenith Williams Ҩ « La pire drogue, c'est l'amertume, elle empoisonne la vie, mais conserve son homme. » 120104

Et merci d'avoir changé d'avatar (tu nous simplifies la tâche en tant qu'admin Wendy Zenith Williams Ҩ « La pire drogue, c'est l'amertume, elle empoisonne la vie, mais conserve son homme. » 137479

)

Oui des super soeurs (a)

Merci :). De rien *-* J'aime pas trop être en "compétition" et comme je disais elle est sur le forum depuis un moment même avant l'ouverture donc bon Wendy Zenith Williams Ҩ « La pire drogue, c'est l'amertume, elle empoisonne la vie, mais conserve son homme. » 6224

Wendy Zenith Williams Ҩ « La pire drogue, c'est l'amertume, elle empoisonne la vie, mais conserve son homme. » 6224

Bienvenue :)

Merci

I'm finish x) Wendy Zenith Williams Ҩ « La pire drogue, c'est l'amertume, elle empoisonne la vie, mais conserve son homme. » 247570

Bienvenuue et bonne chance Wendy Zenith Williams Ҩ « La pire drogue, c'est l'amertume, elle empoisonne la vie, mais conserve son homme. » 584220

Merci

Très belle présentation !
Toutefois, j'ai remarqué quelques fautes (faciles à corriger) et malheureusement, tu n'utilises jamais le passé simple alors que bien souvent, tu devrais l'utiliser à la place de l'imparfait. Et par contre, le système scolaire n'est pas le même qu'en France ;)
Je te valide, bon jeu sur le forum ! Wendy Zenith Williams Ҩ « La pire drogue, c'est l'amertume, elle empoisonne la vie, mais conserve son homme. » 487589

Merci :$
Oui j'ai pas vérifié :/

» WENDY Ҩ « La pire drogue, c'est l'amertume, elle empoisonne la vie, mais conserve son homme. »
» Wendy " Woody " ◮ J’appelle pas ça voler, j’appelle ça tomber avec panache.
» Kaeden Wildworth ♦ « Un homme qui plaît aux femmes, reste un apollon. »
» Sam' ✖ Il me semble parfois que Dieu, en créant l'homme, ait quelque peu surestimé ses capacités.
» (f) belisario ✐ pour le meilleur et pour le pire, jusqu'à ce que la mort vous sépare

Wendy Zenith Williams Ҩ « La pire drogue, c'est l'amertume, elle empoisonne la vie, mais conserve son homme. »

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