Cassiopéa Elena Lagerfelt

I THINK I'M READY
NOM • Lagerfelt
PRENOM(S) • Cassiopéa Elena
AGE • 26 ans
DATE DE NAISSANCE • le 23 avril
LIEU DE NAISSANCE • Londres
PROFESSION • Professeur de droit
GROUPE • A CUP OF TEA

A CUP OF TEA
C’est un plein milieu du printemps que j’ai décidé de pointer le bout de mon nez. Je dois l’avouer, la première fois qu’on prend une bouffée d’oxygène, on se demande ce qu’il nous arrive dans quel monde on arrive. Néanmoins, je restais silencieuse, pas de cris ni de larmes ce qui est très étonnant pour un nouveau né. La première personne que je remarquais face à moi, était un petit garçon. Il ne me semblait pas si grand, comparé à celui qu’il appelait papa. Je compris très vite que lui et moi, on avait certainement un lien de parenté – faut pas croire j’étais déjà intelligente – Les mois, les années passaient et je franchissais plusieurs étapes sur mon chemin. Pour commencer, je grandissais. J’ai appris à parler à marcher et à danser. Une grande passion que je vais travailler. Mais je compris aussi très vite que mes parents ne seraient pas souvent là, voyant les nounous se succéder, on ne pouvait pas sentir l’ombre d’un espoir. Très vite, je me rendis à l’évidence. Ma seule famille se résumait à mon grand frère. Je pouvais toujours compter sur lui. Protecteur et rassurant, il séchait mes larmes et me serrait dans ses bras quand je faisais de cauchemars. On a toujours pu compter l’un sur l’autre et ce n’est pas après autant de temps que ça va changer même si des fois, il en fait un peu trop. Pour lui, ce n’est jamais assez. Il vous dira qu’il préfère prévenir que guérir. Alors en grandissant, je ne le quittais pas d’une semelle, le prenant même comme modèle. Il a su m’apprendre beaucoup de choses et toujours su m’encourager pour que je continue d’avancer. Autant être claire, ça n’a pas toujours été rose.. On a eu nos coups durs, nos moments de silences où on préférait s’éviter que de se parler. Sinon ça allait finir en troisième guerre mondiale, fallait pas tenter le diable. L’adolescence fut l’une de mes plus noires périodes, sans parents s’étaient pas facile mais en plus avec des moments de remise en question ou de doute, ce n’était pas gagné d’avance. J’étais le genre d’ado qui ne tient pas en place. Toujours prête à sortir entre bande de copains ou à m’amuser sans me fixer de limite, on va dire que j’ai fait ma période de bêtises. C’était loin d’être vu sous un bon angle par mes parents mais après tout, il n’avait jamais été là non plus quand j’en avais eu besoin. Tous deux avocats, ils craignaient que je salisse leurs images. C’est là que l’incompréhension et les disputent ont commencés. Je n’avais qu’une idée en tête profiter de la vie sans jamais me demander si ce que je faisais pouvait me nuire. Je n’en voyais pas l’importance. La seule chose qui résonnait dans ma tête, était : et si demain, je ne me réveille plus, est ce que j’aurais profité de la vie qu’on m’a accordée ? Il est claire qu’avec une idée pareil, on ne peut pas s’attendre à quelque chose de réfléchi. Néanmoins, j’ai gardé de bons souvenirs. J’ai fais de belles connaissances et j’ai eu mon premier coup de cœur. Que de souvenirs ! C’est comme si c’était hier, la première fois où j’eue le souffle coupé parce que mon cœur battait si fort que je croyais vivre mes dernières secondes. Il avait tout ce qu’il faut, là où il le faut. Que demander de plus ? Je ne pouvais pas laisser passer ma chance et faire comme si il n’était qu’une pierre en plein milieu de l’océan. Sans même me demander si ce que je faisais était bien ou pas, je m’avançais vers lui et sa bande de copain, engageant la conversation. Toute suite, le feeling est passé ! Les semaines passaient et on avait encore plus de mal à se détacher l’un de l’autre. Toujours fourrés ensemble, on s’éclatait et on s’aimait simplement mais passionnellement. Sans prendre le temps de me poser toutes les bonnes questions, je lui accordais ce dont j’avais de plus précieux – si vous voyez ce que je veux dire – et je ne le regrettais pas, pas une seconde je me suis remise en doute. Les mois passaient et on vivait l’histoire parfaite. Il arriva même à calmer mes ardeurs de rebelle et de fille forte. Laissant naitre en moi, la Cassiopéa paisible et calme. Cette période m’éloigna de mon frère, je dois l’avouer. Et aussi avouer le fait qu’il m’ait manqué comme jamais parce qu’il est tout ce qui compte ! Seulement, les histoires d’amour sont loin d’être facile et sans embuche. Ma jalousie me torturait. J’avais beaucoup de mal à le laisser en compagnie d’autres demoiselles. Lors d’une soirée, j’avais un peu trop bu et lui aussi. Autant dire que la dispute et les reproches étaient inévitables. En sanglot, je criais toute la colère que je pouvais avoir avec son comportement de charmeur et certaines amitiés étranges qu’il entretenait avec les filles. C’est là que je me ramassai la plus grosse claque de ma vie, j’avais à peine seize ans et mon petit ami me disait clairement que je lui pourrissais l’air. Donc que c’était clair, je n’étais pas la seule à lui accorder mes soirées. Trahison, infidélité et rupture. Cette soirée fût bien chargée. Sans même essayer de recoller quoi que se soit, c’est ma main en pleine figure qu’il se prit !

Aujourd'hui, je suis toujours fidèle à moi même. Néanmoins je me suis calmée et j'ai trouvé une place en sortant de l'école. Une chance pour moi parce que ces occasions sont rares. Dans cet établissement, j'enseigne le droit. A croire que c'était dans mes gènes. Une passion que j'enseigne et j'en suis fière. J'aime mon métier, j'aime mes amis et aussi mon frère. Mais depuis quelques temps, je m'accroche à une autre personne, Jordy. Notre relation est loin d'être parfaite. Etant collègue, on se croise souvent et même en dehors des cours, on se contacte parce qu'on adore passer du temps ensemble. Seulement depuis ce baiser, quelque chose est né chez moi et je ne sais pas comment le prendre et comment lui voit les choses. Je ne dis, je continue. On reste amis et on verra où cela nous mènera..

I'M STILL BREATHING
Bonjour à toi Londonien. Le moment est venu pour moi de me présenter. Je suis Elodie alors prosterne-toi. Jai 20 balais, ça gère hein ? C'est en flanant sur l'avenue de top site que je suis tombée sur FOL et je compte bien y revenir 5 jour sur 7 fois par semaine. J'ai décidé de me dessiner avec les traits de Rachel Bilson (a). Si vous avez quelque chose à rajouter, n'hésitez pas.