Elizabeth O. Swenson (fini)

SWENSON Elizabeth Olivia
FEAT Leighton Meester

« Les gens ne savent pas aimer : ils mordent au lieu d’embrasser, ils giflent au lieu de caresser.. C’est peut être parce qu’ils ont conscience que l’amour tourne mal très facilement, ça devient souvent impossible, irréalisable, un exercice vain. Alors ils l’évitent et se réfugient dans l’angoisse et l’agressivité qui sont des sentiments toujours disponible. » (Les bienfaits de la colère)

THIS YOUR STORY
NOM ✐ SWENSON
PRENOM ✐ Elizabeth Olivia
DATE DE NAISSANCE ✐ 17 Mars 1988
LIEU DE NAISSANCE ✐ Londres
AGE ✐ 23 ans
PROFESSION ✐ Etudiante
STATUT SOCIAL ✐ Compliqué
GROUPE ✐ Etudiants

IF WE WERE IN A MOVIE

Intelligente ✐ Espiègle ✐ Enjoué ✐ Joueuse ✐ Charmeuse
Solitaire ✐ Fêtarde ✐ Hostile ✐ Têtue ✐ Naîve

AND WHAT ABOUT YOU
pseudo: Manon ✐ âge: 18 ans ✐ où avez-vous découvert le forum: J'y suis déjà avec Zepplin ✐ comment le trouvez-vous: Toujours aussi parfait ✐ autres: écrire ici. ✐

Elizabeth Olivia Swenson, fille de Richard Swenson et de Meredith Pearl. Le père d’Elizabeth est président d’une maison d’édition, pendant que sa mère restait à la maison ou plutôt allait de gala en gala laissant la petite aux bras de sa nounou. Elle fréquenta une école privé mais contrairement aux autres filles de son école elle devint une jeune fille lumineuse, adorable et travailleuse. Elle ne s’asseyais pas sur ses privilèges, elle travaillait dure au lycée et décida de se trouver un petit boulot de serveuse bien qu’elle ait tout ce dont elle ait besoin. Prouver que l’argent de ses parents ne déterminaient pas qui elle était, était devenu sa priorité. Elle en avait marre que les gens l’apprécie parce que ses parents ont de l’argent. Généralement elle passait ses week-end à travailler, à faire du sport ou parfois avec quelques amis mais en général elle était plutôt solitaire.
Puis un jour, alors qu’elle travaillait le soir dans un bar très huppé de Londres elle rencontra Peter. Il était dans la même école que Elizabeth mais c’était un garçon arrogant, sombre, torturé, insensible et trop fêtard etc. Tous le contraire de la douce Elizabeth. Ils ne faisaient pas partie du même monde, elle était discrète et lui se faisait toujours remarquer. Mais pourtant il ne la quitta pas du regard de la soirée bien qu’il soit en charmante compagnie. Il était complètement ivre mort tout comme ses amis à vrai dire, de vrais boulets, exigeant et qui traitait Elizabeth comme la dernière des idiotes alors qu’elle venait de leur monde, mais juste parce qu’elle travaillait c’était une ovni. Ce qui la faisait les maitriser encore plus. Cependant Peter ne lâchait toujours pas Elizabeth du regard, essayant même de la draguer mais vu son état cela se limitait à des bruits d’animaux en rute, pas du tout glamour ! Ils obligèrent Beth à travailler jusqu’à 3 heures du matin, rien que pour ça elle leur en voulait.
Le lendemain au lycée Peter vint lui parler à la cantine, chose inhabituel vu qu’elle mangeait tous les jours seule, ne préférant pas trop fréquenter ses camarades. Il s’assit à ses côtés avec un plateau de sushis, probablement commander chez un traiteur et apporté au lycée, comme le font tous les gosses de riches, sauf elle.
- Je préférais la mini jupe que tu portais Samedi soir, tu sais. Dit-il tout en jaugeant sa tenue.
- Mon patron me force à porter ça, il dit que ça attire les goujats à consommer, visiblement il a raison. Lança-t-elle d’un ton sarcastique.
Il rigola d’un rire rauque et majestueux, avant de continuer :
- Tu es une petite rigolote, je l’ai tout de suite deviné quand je t’ai vu hier soir.
- Ah parce que tu as un quelconque souvenir de ta soirée ? Vu tout l’alcool que tu as ingurgité j’aurais pensé que le seul souvenir de ta soirée serait un mal de crâne horrible.
- Je me souviens de ce merveilleux sourire que je ne vois pas sur ton visage en ce moment.
- Je souriais parce que j’y étais obligé, sinon je n’ai pas la prime sourire du bar, vois-tu ?
- Tu n’as pas besoin de travailler, je veux dire, tes parents font partie des plus riche de cette école et pourtant tu travailles tous le temps.
- Tu vois c’est exactement pour ça que je ne traîne pas avec vous, vous pensez qu’on ne devrait pas travailler tant qu’on a de l’argent, mais j’aime travailler et obtenir un salaire par moi-même. Pouvoir acheter des trucs en sachant que ce n’est pas avec l’argent de mes parents.
- Mmmmh tu es une femme mystérieuse Elizabeth Swenson. Tu es la première de ta classe, tu fais tous le temps plein de sport, tu cours tous le temps partout entre boulot, sport et lycée etc. Ne t’arrive-t-il jamais de t’amuser ?
- J’adore le lycée, faire du sport et travailler. Je m’amuse, sauf que je n’ai pas besoin d’alcool, de shit ou de sauter sur tout ce qui bouge pour ça.
- Je te propose un marché, laisses-moi te suivre durant une semaine dans tout ce que tu fais et la semaine suivante se seras toi. Comme ça on aura tous les deux découvert quelque chose. A moins que bien sûr tu ais peur de succomber à mes charmes.
- Hormis le fait que tu n’es pas du tout à mon goût, j’ai autre chose à faire que de me trimballer un boulet toute la journée.
- Tu as peur, c’est ça en fait !
- Bon très bien, vas y suis moi si tu veux.
Et voilà comment tout ça à commencer entre eux, il la suivit durant une semaine, se mettant à ses côté en cours, déjeunant avec elle, venant travailler au bar à ses côtés, allant courir avec elle, la suivant à la bibliothèque où il n’avait jamais mis les pieds etc. Puis la semaine suivante elle fut obligé de le suivre au fond de la classe, de manger dans des restaurants chics le midi, de venir dans des soirées mondaines tous les soirs jusque tard dans la nuit. Et bizarrement ces deux semaines furent magique. Lorsque le pari fut terminé, elle fut même un peu triste de devoir retourner à ses activités seule.
- Alors je ne vais pas trop te manquer au travail ? Dit-il en souriant.
- D’arranger toutes tes conneries ne vont pas me manquer non.
- Oh arrêtes, je sais que tu t’es amusé durant ces deux semaines, reconnais-le au moins.
- Admettons, ce n’était pas aussi que ce que j’aurais cru, mais non tu ne vas pas me manquer.
Là il attrapa son visage et l’attira à lui sauvagement pour l’embrasser, au fond elle réalisa qu’elle en mourrait d’envie depuis le début. Bizarrement leur relation dangereuse la faisait chavirer. Ils se voyaient en secret et ça avait un côté excitant de faire une chose interdite pour une fois. Quand ils se voyaient ça devenait torride et elle ne contrôlait plus rien, elle n’arrivait plus à garder la tête froide, et son cœur s’emballait à chaque fois. Elle se sentait si légère à ses côtés.
Mais un jour elle le surpris enlaçant une autre fille, elle ne voulu rien savoir de ses explications et le quitta. Malgré toutes les fleurs, les boites de chocolats, les robes, parures de bijoux etc, rien n’y fit. Elle ne voulait plus rien avoir à faire avec ce goujat.
Elle retourna alors dans sa solitude. Puis le lycée se termina et elle entra à la faculté de droit de Londres. Sa petite vie allait très bien jusqu’à ce qu’elle le croise dans la rue il y a quelques jours. Son cœur se remit à palpiter comme avant et elle se sentit stupide d’éprouver ça puisqu’il l’avait trompé sous son nez au lycée et alors son cœur battant la chamade se transforma en rage contre lui. Peter, de son côté ne se décourageait pas, la preuve, tous les jours il vint lui refaire son petit numéro comme au lycée.
- Je trouve que tu es devenue très agressive, comme un petit chat qui me grognerait dessus, pourtant il n’y a pas si longtemps tu ronronnais si je me souviens bien.
- Oh arrêtes un peu, je ne ronronnais pas et puis toi tu as bien préférer ronronner à l’oreille d’une autre d’après mes souvenirs.
- On n’a pas les mêmes je pense, moi je me souviens avoir enlacé amicalement une amie alors que toi tu as le souvenir que je t’ai trompé.
- Tu avais la main sur ses fesses et tu lui as dit que ça avait été génial.
- Je la remerciais tout simplement. S’il te plait, arrêtons de parler de ça et laisses-moi t’inviter à diner.
- Hors de question, j’ai mieux à faire.
- Aurais-tu peur de tomber à nouveau sous mon charme ?
- Jamais.
- Parfait, alors je passe te chercher à 19 heures.
Et voilà comment elle retomba à nouveau sous son charme, passant à nouveau tout son temps chez lui à s’envoyer en l’air. Son cœur palpitant et le sentiment qu’il faisait 40°C revenant à nouveau.