♫ meet me in halfway ♫ this is a new relationship: ♫ musique du moment: loca ♥ SHAKIRA
Sujet: Re: Nouveaux admins (a) Jeu 13 Jan - 4:29
Moi aussi , je vais dodoter mon coeur (a)
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Sujet: Re: Nouveaux admins (a) Jeu 13 Jan - 4:29
À demain ;)
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Sujet: Re: Nouveaux admins (a) Jeu 13 Jan - 6:29
Juste une question, c'est qui tous ces nouveaux comptes ? Mon poireau j'ai vu ton double compte, Zachariel j'en déduis que tu étais Jharean mais qui est Oksana ?
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Sujet: Re: Nouveaux admins (a) Jeu 13 Jan - 15:23
Oksana c'est une de mes amies , tu veux qu'elle soit admine ou pas ?
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Sujet: Re: Nouveaux admins (a) Jeu 13 Jan - 16:03
Super que tu continues Zachariel (je ne me sens pas de continuer à t'appeler comme ça alors c'est quoi ton prénom ?) Mon poireau tu te souviens que j'avais dit que je voulais qu'on choisisse tous ensemble les admins. Alors j'aimerais quand même connaître le niveau de ton rp et sa motivation, donc pour le moment (Oksana si tu lis ça, c'est pas contre toi ) je préfère attendre d'avoir ces infos
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Sujet: Re: Nouveaux admins (a) Jeu 13 Jan - 21:52
Heureuse que tu aime mon raisin Je vais en mettre sans doute ce soir (a)
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Sujet: Re: Nouveaux admins (a) Jeu 13 Jan - 22:33
Yeah it's him !
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Sujet: Re: Nouveaux admins (a) Ven 14 Jan - 2:33
super à la bourre. *o* en fait, je suis en train de terminer un rp et vu que je l'adore, j'aurais voulu vous le montrer. Désolée pour toute cette intrusion, je suis vraiment tombée amoureuse du forum.
Sinon, niveau personnel: j'm'apelle Isabelle, j'ai 20 ans et je viens du Québec. Je fais un bacc en histoire à Laval et je fais du rpg depuis plus de six ans.
EDIT: voilà mon niveau donc (aa)
Spoiler:
❝ hope I don’t find the loose bad dog before is gentle owner! ❞
« Pourquoi ne veux tu pas m’écouter Amadeo?? » Il me regarde de son air que j’aurais simplement envie de le frapper. Il fallait comprendre une chose plutôt claire entre nous deux, je l’aimais vraiment, et cela, depuis six longues années. Il était mon meilleur ami et j’avais trouvé quelqu’un qui pouvait me supporter contre vents et marrés alors je n’allais pas le lâcher de sitôt. Nous avions travaillé quatre ans ensemble avant d’arriver sur l’île et il fallait avouer que je ne l’avais jamais vu à cran que ces derniers jours. Il avait toujours quelque chose dans son regard qui me criait de cesser de lui faire du mal. Je ne comprenais pas, j’avais toujours été une excellente amie pour lui, toujours prête lorsqu’il avait besoin d’aide. Certes, j’étais du genre à le surmener un peu, mais il savait que le travail n’avait rien à voir avec ce que je pensais réellement de lui. Il avait l’air de se retenir à chaque fois qu’il me voyait et je sentais bien que plus le temps avançait et plus ça empirait. Nous avions un abri commun, nous dormions tous les deux dans le même lit sans n’avoir jamais dépassé les bornes d’une amitié préétablie par moi-même. La discussion d’aujourd’hui était à nouveau venue sur le plateau, parce que celle que je gardais enfouie dans mon être restait terrée pour éviter de briser notre relation. Il aurait dû être le premier à me croire, à adopter mes idées et à approuver mon point devant tout le reste du camp. Je savais que les inconnus étaient inoffensifs, ou du moins qu’ils ne se battaient que pour leur survie comme nous le faisions. Au départ, je l’avais invité dans mes aventures pour trouver qui ils étaient, d’où ils venaient. Il était toujours celui que j’avais cru, qui m’écoutait faire part des faits comme ils étaient véridiques. Hélas, je ne savais pas ce qu’il avait vu où qui il avait rencontré pour croire qu’ils n’étaient pas ce qu’ils disaient être. J’avais beau lui démontrer qu’ils ne pouvaient avoir saccagé notre camp auparavant, il semblait plus borné que jamais. Que lui avais-je fait pour que son comportement change du tout au tout en un peu plus de deux semaines? J’essayais de coucher le moins possible dans notre abri, pour l’éviter comme la sale lâche que j’étais. Certes, il ne fallait pas avouer que le matin, lorsque je sortais de la couche de Riley, il avait envie de me dévisser d’un coup d’œil. Il savait ma réputation, comment j’aimais beaucoup trop la liberté pour me laisser emporter dans une histoire d’amour comme l’on voit dans les films. La vérité étant que je ne croyais plus en l’amour depuis fort longtemps, si ce n’était pas depuis toujours. Les hommes trouvaient cela plus agréable, ils n’avaient pas à se casser la tête à savoir si j’allais rester sous leurs jupes le lendemain d’une partie d’une jambe en l’air. Non, j’étais toujours celle qui s’enfuyait avant l’aube, qui n’arrivait même pas à accepter un tant soit peu la responsabilité qui venait avec ce genre de relations. Sur l’île, j’avais dû un tant soit peu calmer mes ardeurs pour la simple et bonne raison que je ne pouvais pas les quitter indéfiniment. Et puis si vous voyiez le regard que certaines femmes jetaient sur moi… Comme si je leur piquais leur petite viande chérie. M’enfin, la discussion de cette soirée plutôt agréable était encore partie de travers, alors que j’essayais de lui convaincre mon point de vu. « Parce que tout le monde ne vit pas dans un conte de fées merde! » Je ne comprenais pas pourquoi il élevait inutilement le ton, non plus d’ailleurs le fait qu’il s’adresse à moi de la sorte. Il était con ou quoi? Quelle chose avait-il mangée sur l’île pour qu’il divague à ce point? Je n’étais pas idiote, j’étais la première à savoir que la vie n’était pas faite de belles choses. J’avais fini par comprendre que je devais moi-même m’amuser avec les petites choses de la vie. Sinon, lorsqu’on voit tout ce que mes prunelles ont pû apercevoir, on a tout de suite envie de se jeter en bas d’un pont. C’est ainsi que ma main alla frapper avec force la joue de mon amie, geste qu’il avait reçu un nombre incalculable de fois depuis que nous nous connaissions.
Furieuse, je sortis de notre campement, serrant les poings. Je tournai un moment autour du feu et vu mon air, les gens décidèrent de me laisser complètement tranquille. Plusieurs minutes plus tard à me ronger les sangs, je finis par me laisser tomber sur une des buches servant à s’asseoir près du feu. Passant mes mains sur mon visage, je ramenai mes cheveux vers l’arrière soupirant alors que je me calmais doucement. Puis, mon regard se posta vers le ciel et lorsque je croisai mère la lune, je me mis à sourire, aussi facilement que ça. J’étais idiote, avec cette conversation avec Amadeo, j’en avais pratiquement oublié le moment de la journée que je préférais le plus. Nous ne pouvions pas nous voir tous les soirs, parce que cela éveillait des soupçons dans nos camps. Mes pas se faisaient frénétiques, sachant déjà ce qui les attendait. À vrai dire, je prenais tout simplement une chance parce qu’avec ce qui c’était passé hier, je n’étais pas sûre que Cobb aurait la force de se pointer. Je le connaissais pratiquement comme si je l’avais pratiqué, merci aux nombres incalculables d’heures que l’on avait passées en regardant la lune depuis déjà trois semaines. Je ne savais même pas comment j’avais fut pour m’en sortir avant sa rencontre, j’avais désormais besoin de nos discussions pour me sentir une bonne personne. Oh, il ne fallait pas se le cacher malgré ma curiosité et mon humour, les gens savaient que ma solitude importait à mes yeux. Il se trouvait qu’Amadeo comme Cobb étaient les seuls que je pouvais supporter nuits et jours. Donc, pour en revenir à la nuit dernière il fallait avouer que les événements s’étaient déroulés sans que je ne m’en rende compte. Cobb était comme un frère pour moi, je l’aimais déjà comme une folle alors que notre rencontre ne remontait pas à loin. Puis il y avait Ezra… C’était d’autant plus difficile à comprendre que je le détestais comme une force m’approchait de lui. Comment Cobb ne pouvait-être qu’un frère alors? Certes, vous aurez compris qu’il n’était pas uniquement vu comme tel, il était certain que je le trouvais de mon goût. Je n’étais pas insensible à ses charmes, mais jamais au grand jamais je n’aurais tenté quelque chose avec Cobb. Du moins, pas sans son accord. Et puis je devais avouer qu’il m’avait surprise hier, au même titre où je n’aimais pas réellement Ezra, je l’acceptais, car sans lui, Cobb n’était plus Cobb. J’avais déjà eu à l’affronter plusieurs fois déjà et il me donnait des frissons à chaque fois qu’il prenait possession du corps de mon ami. Et hier… Il m’avait poussée à bout, sans compter qu’il l’avait cherché. La séduction et moi, c’est une vieille histoire et on ne peut pas dire qu’Ezra soit des plus discrets possibles. Je suivais le chemin habituel, en prenant bien soin de regarder plusieurs fois derrière moi si je n’étais pas suivie. Je ne voulais pas que quelqu’un soit au courant de notre amitié, car au même titre où j’estimais que leur camp était bon, je savais que mes amis lui seraient sans pitié. Rapidement, je franchis les limites de la clairière et mon sourire s’illumina quand je découvris Cobb couché à notre endroit habituel. Mes sens frétillèrent lorsque je m’accroupis au sol pour m’approcher à pas de loups afin de le surprendre. Ça fonctionna apparemment, il sursauta et il me surprit en même temps tant sa réaction était forte. Ça me faisait penser au jour de notre rencontre. « Gwen... ne fait plus jamais ça tu veux ! Tu m'as foutu une peur bleue » Je retombai assise sur mon derrière, mon corps secoué de vilains tremblements, complètement tordus de rire. « Tu rigoles? Je t’ai à chaque fois, c’est trop tordant oui! Je… » J’allais continuer sur ma lancée quand je m’aperçus qu’il changea de réaction. Je m’arrêtai de rire, pour l’écouter attentivement. « Je ne pensais pas que tu viendrais. » « Quoi? Mais Pourquoi? » Mon regard s’infiltra dans le sien et je compris immédiatement où il voulait en venir. Je lui offris un sourire en coin et remis une de mes mèches de cheveux derrière mes oreilles. « Oh ça! Tu sais, ce n’est rien Cobb.Tu… » Une étincelle malicieuse s’alluma dans mes prunelles alors que je rétorquai : « T’as qu’à tenir le chien en laisse! » Bon, je savais que ça n’aiderait pas, qu’il ne prendrait pas à la blague ce que je venais de lui dire. Mais c’était assez jouissif pour penser à Ezra qui se démènerait dans son esprit. Pauvre chou sérieusement. Je pris la main de mon ami et repris mon sérieux pour lui avouer : « Bon allez, on oublie. Tu ne m’en veux pas dit? » Je ne savais pas pourquoi j’avais dit ça, mais je ne pouvais m’empêcher de me demander ce qu’il avait dû se dire quand nous nous étions embrassés.
V. Asher Rhodes grand londonien
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Sujet: Re: Nouveaux admins (a) Ven 14 Jan - 10:03
Bienvenue parmis nous Oksana ! (a) (je crois qu'on se connait non ? on a déjà faillit faire un forum ensemble, avec d'autres personnes XD) T'as un super bon niveau. à côté de toi, je pond de la merde